Marc Moniot

MONIOT Marc

Né en 1973 à Aubervilliers, Marc Moniot vit entre la Normandie et le Nord où il travaille dans les finances. Amoureux de littérature et de musique, passionné de photographie, il écrit depuis tout jeune. Paris, la Bourgogne, l’Angleterre et l’Italie constituent ses théâtres de jeu, mais il garde une attache viscérale à la Normandie qu’il découvre à 7 ans « Au noir et blanc de Paris, s’offrirent alors à mes yeux des milliers de couleurs… ».

Avec deux amis, il créé un club d’écrivains à Caen en 1996 : « Le Jaromil », en parallèle de ses études de philosophie. Marc Moniot s’oriente alors vers la poésie et la photographie. Il échange beaucoup avec Jean Ferrat qui parraine « Le Jaromil ». Auteur prolifique, il multiplie les expériences dans ces deux domaines, ainsi que dans la musique, laissant de côté ses écrits plus conventionnels.

Auteur d’une cinquantaine d’ouvrages, il consacre sa plume à diverses thématiques qu’il articule en triptyques : balades normandes, poètes français, muses, Deauville, Trouville, Honfleur, Fécamp, Paris, peinture, photographie, Angleterre, Italie, philosophie…

Pendant deux ans, il travaille « Les clefs du Labyrinthe » dont les deux tomes constituent une sorte de bilan philosophique et d’échanges avec ses proches, ainsi qu’une période de reconstruction suite à sa séparation. Il mêle ses deux années d’écritures intenses à la rénovation complète d’une maison à Lambersart.

En 2019, il rencontre sa femme, ensemble ils entreprennent le projet de retravailler toutes les couvertures de son œuvre, les jambes de son épouse comme sujet central ; un travail complice qui offre à ses livres une seconde édition. « En alliant poésie et photo, je voulais pérenniser mon œuvre à travers ce qu’il y a de plus beaux, mon univers dans les pas de ma muse ultime… ».

Une muse ultime à qui il vient de consacrer son dernier triptyque « Les roses de Lambersart ». Trois livres à la sociologie forte : la rencontre, la renaissance, le mariage… Il lui fait découvrir la Normandie dont elle tombe amoureuse. Ils y établissent un petit cocon où ils se retrouvent le plus souvent possible.

Dans la continuité, Marc Moniot renoue avec la poésie dans deux ouvrages. « Sentier Baudelaire » consacré à Trouville-sur-Mer, un sentier bien réel menant à la mer comme un ultime retour aux sources… Et « Le carnet noir »,  son vieux compagnon de routes, un Moleskine noir enrichi d’impressions, de paysages et de partages à deux d’un voyage de noces en Italie.
Père de trois enfants, Marc Moniot s’est ensuite consacré à la création d’atmosphères étranges, entre poèmes, nouvelles, chroniques, et une synthèse des photos de son œuvre dans « Subterfuges et rimages extraordinaires » et à la réécriture de 38 nouvelles dans « Les incandescences d’Alexandre », deux ouvrages majeurs qu’il définit comme les témoins du passage du poète-photographe à celui de nouvelliste, puis à celui de romancier.
Un romancier de polar qui signe un premier opus : “Photos volées”, annonciateur de quatre autres romans. Un romancier de polar qui préserve une plume riche de toutes ses entités.

Livres en vitrine

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